Le Ministre Sidi Tiémoko Touré a dévoilé ces chantiers à l’occasion d’un déjeuner de presse qu’il a offert aux Directeurs de publication, aux Présidents des Groupements Professionnels de la presse, et journalistes et professionnels de la communication, le vendredi 03 février 2023 à Abidjan-Plateau.
Il s’agit, entre autres, du Projet de Développement de la Filière Porcine ; à travers la construction et l’équipement de trois infrastructures d’abattage régionaux de porcs et l’installation de 40 éleveurs et de 120 rôtisseurs, etc.
Le Projet de Renforcement de la Filière Avicole avec l’installation de 175 bâtiments modernes d’une capacité de 10 000 sujets chacun, la construction de sept abattoirs et provenderies et la création de 1 500 emplois, etc., et le Projet de Production Bouchère Bovine portant sur le Renforcement des capacités techniques de 770 éleveurs, l’installation de 350 promoteurs en élevage bovin et activités connexes, la construction de cinq marchés à bétail et 100 mini-rôtisseries, et la Promotion de PME, etc., font partie de ces prioritaires en 2023.
Le Ministre a également annoncé les Projets d’Amélioration de l’Alimentation du Bétail, de Développement de l’Elevage des Petits Ruminants et de Développement et de Promotion de la Production Laitière, etc.
Ces efforts déployés, a-t-il relevé, contribueront à la création de centaines de milliers d’emplois directs, notamment pour la jeunesse à laquelle le Président de la République Alassane Ouattara a dédié l’année 2023.
Pour cette année 2023, a dit Sidi Tiémoko Touré, les principales réformes que son ministère entend engager se feront au regard de la volonté et des ambitions d’insertion des jeunes pour leur autonomisation. Selon le ministre, ces réformes permettront d’assurer « une meilleure organisation des acteurs de nos différents secteurs à travers la mise en place des interprofessions, une meilleure distribution des produits halieutiques, par la création de réseau de distribution maîtrisé, une gestion rationnelle et durable des ressources halieutiques, à travers l’identification des embarcations et la gestion de la pêche artisanale. Et aussi la surveillance des maladies de la faune sauvage par la mise en place d’un dispositif de surveillance de la faune sauvage et une meilleure traçabilité des bêtes par l’identification du bétail en Côte d’Ivoire.
Source : CICG